Bookish Prat a écrit:Coco 47 bis a écrit:[...] je propose : « (…) de déplaire à son milliardaire de nouveau mari ».
Cher Dico, j'ai coupé le texte cité de Coco 47 bis à l'aide de points de suspension encadrés par des crochets [...]. C'est Coco 47 bis, par contre, qui a lui-même coupé sa propre phrase, qu'il cite, avec des points de suspension. À l'intérieur de parenthèses (...), donc, pour signaler qu'il est l'auteur de la coupure.
P…, les mouches morflent grave en cette saison !
Un peu d'histoire.
Sylvain B avait écrit :
P-S : c’est bien Bardot la première a avoir enregistré ce titre. Mais comme elle était sur le point de se marier (ou venait juste de l’être) avec Gunter Sachs, elle a demandé que cette chanson ne figure pas sur le disque, par crainte de déplaire à son nouveau milliardaire de mari.
Pour aller à l'essentiel, j'ai recopié sa phrase en la tronquant ainsi :
(…) par crainte de déplaire à son nouveau milliardaire de mari.
Jusque-là, j'avais bon, Bookish, non ?
Puis j'ai proposé de réécrire ainsi cette même phrase, toujours raccourcie :
(…) par crainte de déplaire à son milliardaire de nouveau mari.
Cette phrase n'était pas à proprement parler « ma propre phrase ». Elle était la phrase de Sylvain B modifiée par moi, et le (…) marquait l'absence d'une partie de son texte initial. Alors, c'est pas bon ?
A moins que, Bookish, quand vous écrivez : Dans une citation, les points de suspension mis entre parenthèses « (...) » appartiennent à l'auteur cité, vous ne vouliez dire que ce (…) doit matérialiser une coupe effectuée dans un texte par l'auteur de ce texte ? Mais il est rare qu'un auteur se coupe lui-même, non ?
En tout cas, je partage votre affection pour les « ».